Illustration : Aarav est l'auteur de ce post .
Aimer d'amour vraiment !
Et que ton coeur explose ,
En un bouquet de roses,
Aux parfums enivrants.
Le chant de notre amour,
A balayé les âges...
Et même davantage,
Pour nous aimer toujours.
S'aimer jusqu'à l'ivresse,
Fruit d'un amour passion,
Jusqu'aux mille frissons
De nos corps en liesse
Bien des gens nous ont vus,
Toujours main dans la main,
Et se sont mêmes émus,
De nos amours sans fin.
Le chant de notre amour,
Fut tellement mélodieux,
Que sur notre parcours...
Il a fait des heureux.
Aimer d'amour sans fin,
Que chaque jour éclose
Dans un éclat de rose !
Un nouveau lendemain.
José Delattre 13/03/2017.
JD
lundi 30 octobre 2017
dimanche 29 octobre 2017
La balade des mots !
Image d'un post de Ioannis Christidis
Peintre : Watchara Klakhakhai
Comme un baladin qui parcoure les routes
Semant la poésie aux vents des quat' saisons
Vous me lirez pour sûr, et ce jour-là sans doute
Vos yeux se porteront sur la ligne d'horizon.
Mes mots comme des appeaux vous imprègnent,
Et ciblent votre coeur ! Votre âme en est émue
Et qu'arrive la nuit quand les lumières s'éteignent !
Et vos lèvres répètent les rimes qu'elles ont lues.
Tous ces mots qui m'assaillent comme un raz-de-marée
Les mots faits pour aimer, les mots d'amour osés !
Bousculent rimes et vers qui soulagent mes maux,
Dans les ors de l'automne ! Qu'ils soient rires ou sanglots ?
Ils peuvent être cascade, ou histoire d'eau qui coule,
Torrent impétueux d'un bruit de pierres qui roulent !
Mes mots détalent, et puis s'étalent, vous éclaboussent !
Évanescents ! Réveil des sens, sur un tapis de mousse.
Comme feuilles qui volent, mes mots frivoles,
Prennent leur envol ! Écrin arc-en-ciel de couleurs,
Mots patinés de mes pensées, mots en farandole !
Mots maraudeurs ! Ma poésie prend de la hauteur.
Au gré des vents et des saisons, au gré des flots,
Elle respire, tressaille, pétille ! Devient murmure
Puis s'élevant très haut ! Elle pirouette dans l'azur
Et retombe dans vos rêves de ses mots en écho !
Comme la silhouette d'une merveilleuse femme !
S'offrant nue à vos yeux dans sa candeur sublime.
Ma poésie s'envole dévoilant tous ses charmes,
Espérant vous séduire dans sa tendresse ultime.
Au gré des vents et des saisons, au gré des flots,
Elle retombe dans vos rêves de ses mots en écho !
José Delattre 14/09/2017.
Peintre : Watchara Klakhakhai
Comme un baladin qui parcoure les routes
Semant la poésie aux vents des quat' saisons
Vous me lirez pour sûr, et ce jour-là sans doute
Vos yeux se porteront sur la ligne d'horizon.
Mes mots comme des appeaux vous imprègnent,
Et ciblent votre coeur ! Votre âme en est émue
Et qu'arrive la nuit quand les lumières s'éteignent !
Et vos lèvres répètent les rimes qu'elles ont lues.
Tous ces mots qui m'assaillent comme un raz-de-marée
Les mots faits pour aimer, les mots d'amour osés !
Bousculent rimes et vers qui soulagent mes maux,
Dans les ors de l'automne ! Qu'ils soient rires ou sanglots ?
Ils peuvent être cascade, ou histoire d'eau qui coule,
Torrent impétueux d'un bruit de pierres qui roulent !
Mes mots détalent, et puis s'étalent, vous éclaboussent !
Évanescents ! Réveil des sens, sur un tapis de mousse.
Comme feuilles qui volent, mes mots frivoles,
Prennent leur envol ! Écrin arc-en-ciel de couleurs,
Mots patinés de mes pensées, mots en farandole !
Mots maraudeurs ! Ma poésie prend de la hauteur.
Au gré des vents et des saisons, au gré des flots,
Elle respire, tressaille, pétille ! Devient murmure
Puis s'élevant très haut ! Elle pirouette dans l'azur
Et retombe dans vos rêves de ses mots en écho !
Comme la silhouette d'une merveilleuse femme !
S'offrant nue à vos yeux dans sa candeur sublime.
Ma poésie s'envole dévoilant tous ses charmes,
Espérant vous séduire dans sa tendresse ultime.
Au gré des vents et des saisons, au gré des flots,
Elle retombe dans vos rêves de ses mots en écho !
José Delattre 14/09/2017.
vendredi 27 octobre 2017
RÊVE INDIEN !
🎑 RÊVE INDIEN...
C'est un rêve d'enfance...
Que d'aimer la nature,
Dormir sous les étoiles,
Une envie qui perdure.
J'aurais bien aimé vivre,
Comme au temps des indiens,
Dormir dans un tipi...
Un de mes rêves anciens.
Alors je l'ai rêvé...
Car j'en avais envie,
Ce rêve de toujours,
Rêvez-le avec moi...
Je vais vous le conter.
Regardez tout là-haut,
Au sommet du Mont bleu...
Mon tipi si parfait,
Et qui fait des envieux.
La colline où je gîte,
Est comme un sein de femme,
Arrondie... Maternelle...
Chapeautée d'un wigwam.
Sous elle, une étendue...
De grands fûts nonchalants,
Comme une mer d'émeraude,
Calinée par le vent.
A son pied...
Un village de peaux,
Aux pointus de cocagnes,
Avec des peintures noires,
Sur des tissus tendus.
Une rivière clapote...
Sur le dos des galets,
Semblant charrier de l'or,
Dans son sillon pourpré.
Les tipis plantés là,
Sur la croupe des airs,
Dérivent immobiles,
Dans la chapelle immense,
D'une forêt de pins...
Aux pilliers gigantesques.
Mon chez moi est là-haut,
Là juste...regardez...là
Et enviez Sa prestance,
...Rêvez-le avec moi.
On y entre courbé,
Apportant avec soi,
Le parfum des collines...
Et des herbes froissées.
Au milieu, un foyer,
Cerné de galets ronds...
Où dansent prisonniers,
Des lutins affolés.
Ici, tout est nature,
Transformé en pratique,
La glaise y est timbale...
...Et, marmite à bouillir.
Cruche au bedon bombé,
Pot de terre, peau de lait
Poudrier sympathique,
Et lampe à huile dorée,
Coupes pour fruits séchés,
...Et même, calumet.
Des arcs sont posés,
En faisceaux dans un coin,
Et des carquois ornés,
De duvets et de crocs,
Ressemblent à s'y méprendre...
À des vases en goulet,
Où s' épanouiraient,
Dès épis sur roseaux.
Et puis levez le nez,
Vers le trou dans les peaux,
Là-haut, oui, tout là-haut,
Voici les attrapes-rêves,
Agitant leur plumeau.
Tout en filtrant l'haleine,
Du feu qui leur confie,
Les songes des héros.
Dans de petites coupettes,
Tout un jeu de couleurs,
Et de brindilles d'osier,
Pour peindre les visages...
...Et les corps, sans douleurs !
Car ici on se peint,
Et non point pour la guerre,
Mais plutôt pour l'amour,
Qu'en ce tipi, on fête.
Dans ce logis tout rond,
Comme un nid de fauvettes,
La gaîté est de mise,
Point de pleurs, ni de cris.
Le tomawak est là,
Accroché... inutile...
Et les coiffes de plumes,
Servent à brasser l'air,
Parfois un peu épais.
Il y a des bouquets d'herbes,
Mises en brassées qui sèchent,
Et cela sent le miel...
La menthe...
La Bergamote...
Un mélange joyeux,
De parfums, végétal
Qui tend à faire sourire,
Qui finiront tisanes,
Où onguents pour guérir.
Ici point de fauteuils,
Ni de sièges, voyez-vous,
Mais des fourrures douces,
Éparpillées au sol.
Et pour dormir à l'aise,
Et au plus près du feu,
Des hamacs suspendus,
Comme de longs fuseaux...
Offrant leurs mailles souples,
Au lourd poids du repos.
Deux hamacs suspendus,
Dans cette case ronde,
Deux hamacs encadrant,
Un berceau en osier,
Ou dort un petit ange...
Un papoose doré,
Et dans ses poings fermés,
Ses rêves de bébé...
Dès rêves de tipis...
Comme j'en ai rêvé...
... Une demeure rêvée,
Où j'aurais tant aimé,
Couler des jours heureux
Entre des herbes sèches...
Des serments, des aveux,
Et le fruit d'un amour...
Et de braises...
Et de feu...
José Delattre. 06/04/2016.
C'est un rêve d'enfance...
Que d'aimer la nature,
Dormir sous les étoiles,
Une envie qui perdure.
J'aurais bien aimé vivre,
Comme au temps des indiens,
Dormir dans un tipi...
Un de mes rêves anciens.
Alors je l'ai rêvé...
Car j'en avais envie,
Ce rêve de toujours,
Rêvez-le avec moi...
Je vais vous le conter.
Regardez tout là-haut,
Au sommet du Mont bleu...
Mon tipi si parfait,
Et qui fait des envieux.
La colline où je gîte,
Est comme un sein de femme,
Arrondie... Maternelle...
Chapeautée d'un wigwam.
Sous elle, une étendue...
De grands fûts nonchalants,
Comme une mer d'émeraude,
Calinée par le vent.
A son pied...
Un village de peaux,
Aux pointus de cocagnes,
Avec des peintures noires,
Sur des tissus tendus.
Une rivière clapote...
Sur le dos des galets,
Semblant charrier de l'or,
Dans son sillon pourpré.
Les tipis plantés là,
Sur la croupe des airs,
Dérivent immobiles,
Dans la chapelle immense,
D'une forêt de pins...
Aux pilliers gigantesques.
Mon chez moi est là-haut,
Là juste...regardez...là
Et enviez Sa prestance,
...Rêvez-le avec moi.
On y entre courbé,
Apportant avec soi,
Le parfum des collines...
Et des herbes froissées.
Au milieu, un foyer,
Cerné de galets ronds...
Où dansent prisonniers,
Des lutins affolés.
Ici, tout est nature,
Transformé en pratique,
La glaise y est timbale...
...Et, marmite à bouillir.
Cruche au bedon bombé,
Pot de terre, peau de lait
Poudrier sympathique,
Et lampe à huile dorée,
Coupes pour fruits séchés,
...Et même, calumet.
Des arcs sont posés,
En faisceaux dans un coin,
Et des carquois ornés,
De duvets et de crocs,
Ressemblent à s'y méprendre...
À des vases en goulet,
Où s' épanouiraient,
Dès épis sur roseaux.
Et puis levez le nez,
Vers le trou dans les peaux,
Là-haut, oui, tout là-haut,
Voici les attrapes-rêves,
Agitant leur plumeau.
Tout en filtrant l'haleine,
Du feu qui leur confie,
Les songes des héros.
Dans de petites coupettes,
Tout un jeu de couleurs,
Et de brindilles d'osier,
Pour peindre les visages...
...Et les corps, sans douleurs !
Car ici on se peint,
Et non point pour la guerre,
Mais plutôt pour l'amour,
Qu'en ce tipi, on fête.
Dans ce logis tout rond,
Comme un nid de fauvettes,
La gaîté est de mise,
Point de pleurs, ni de cris.
Le tomawak est là,
Accroché... inutile...
Et les coiffes de plumes,
Servent à brasser l'air,
Parfois un peu épais.
Il y a des bouquets d'herbes,
Mises en brassées qui sèchent,
Et cela sent le miel...
La menthe...
La Bergamote...
Un mélange joyeux,
De parfums, végétal
Qui tend à faire sourire,
Qui finiront tisanes,
Où onguents pour guérir.
Ici point de fauteuils,
Ni de sièges, voyez-vous,
Mais des fourrures douces,
Éparpillées au sol.
Et pour dormir à l'aise,
Et au plus près du feu,
Des hamacs suspendus,
Comme de longs fuseaux...
Offrant leurs mailles souples,
Au lourd poids du repos.
Deux hamacs suspendus,
Dans cette case ronde,
Deux hamacs encadrant,
Un berceau en osier,
Ou dort un petit ange...
Un papoose doré,
Et dans ses poings fermés,
Ses rêves de bébé...
Dès rêves de tipis...
Comme j'en ai rêvé...
... Une demeure rêvée,
Où j'aurais tant aimé,
Couler des jours heureux
Entre des herbes sèches...
Des serments, des aveux,
Et le fruit d'un amour...
Et de braises...
Et de feu...
José Delattre. 06/04/2016.
jeudi 26 octobre 2017
Chant d'amour 1.
Chant d'amour 1
Au fil de mes poèmes,
Je conjugue le verbe "aimer"
Le fil de ma vie à commencé
Quant à ma mère j'ai dit je t'aime.
Au fil de mes amours,
Mon coeur s'y est habitué
Dans mes mots et mes écrits, je répètais
Je t'aime, je t'aimerai toujours.
Au fil de mes envies,
J'ai défilé toutes mes folies,
J'en ai parfois perdu mes mots !
Tremblant et troublé d'aimer trop.
Au fil de mes jours qui défilent,
Je tente bien de me calmer !
En équilibre je continue d'avancer,
Sur le fil de mes jours qui s'empilent.
Mais le fil de l'amour est plus fort,
Toujours il vient me rechercher,
Avec lui, c'est à la vie, à la mort,
J'aimais, j'aime et j'aimerai.
José Delattre. 27/02/2017.
Au fil de mes poèmes,
Je conjugue le verbe "aimer"
Le fil de ma vie à commencé
Quant à ma mère j'ai dit je t'aime.
Au fil de mes amours,
Mon coeur s'y est habitué
Dans mes mots et mes écrits, je répètais
Je t'aime, je t'aimerai toujours.
Au fil de mes envies,
J'ai défilé toutes mes folies,
J'en ai parfois perdu mes mots !
Tremblant et troublé d'aimer trop.
Au fil de mes jours qui défilent,
Je tente bien de me calmer !
En équilibre je continue d'avancer,
Sur le fil de mes jours qui s'empilent.
Mais le fil de l'amour est plus fort,
Toujours il vient me rechercher,
Avec lui, c'est à la vie, à la mort,
J'aimais, j'aime et j'aimerai.
José Delattre. 27/02/2017.
mercredi 25 octobre 2017
Douceur de femme.
Douceur de Femme.
Comme une évidence, plaisir des yeux, plaisir des sens,
Elle s'impose à la vue tant elle est douce et belle,
Ses cheveux vers l'arrière en chignon s'amoncellent !
Soulignant et la grâce du cou ; des épaules, l'élégance.
Son port altier de Femme, le buste avantageux...
Que deux mèches rebelles en viennent à souligner,
Jusqu'aux traits du visage d'une divine beauté !
La pose fait rêver, car coquine, elle a baissé les yeux.
Elle a baissé les yeux sur ce qu'elle a de plus beau,
Son balcon de princesse aux deux globes envieux !
Ce faisant, c'est mon coeur qui éclate en morceaux,
Ô douceur de Femme, ton parfum doit être capiteux.
Ne pars pas je t'en prie, je veux encore un peu,
Plus près de mon visage, que tu viennes me charmer !
Voir au fond de tes yeux, la couleur du ciel bleu...
Et que je m'en imprègne pour que j'en puisse rêver.
Rêver de ta beauté et de ton charme fou,
De la boucle d'oreille qui souligne plus encore !
La grâce de la Femme dont mon coeur est jaloux,
Ô douceur de Femme, te dire "je t'aime", encore.
José Delattre. 02/03/2017.
Comme une évidence, plaisir des yeux, plaisir des sens,
Elle s'impose à la vue tant elle est douce et belle,
Ses cheveux vers l'arrière en chignon s'amoncellent !
Soulignant et la grâce du cou ; des épaules, l'élégance.
Son port altier de Femme, le buste avantageux...
Que deux mèches rebelles en viennent à souligner,
Jusqu'aux traits du visage d'une divine beauté !
La pose fait rêver, car coquine, elle a baissé les yeux.
Elle a baissé les yeux sur ce qu'elle a de plus beau,
Son balcon de princesse aux deux globes envieux !
Ce faisant, c'est mon coeur qui éclate en morceaux,
Ô douceur de Femme, ton parfum doit être capiteux.
Ne pars pas je t'en prie, je veux encore un peu,
Plus près de mon visage, que tu viennes me charmer !
Voir au fond de tes yeux, la couleur du ciel bleu...
Et que je m'en imprègne pour que j'en puisse rêver.
Rêver de ta beauté et de ton charme fou,
De la boucle d'oreille qui souligne plus encore !
La grâce de la Femme dont mon coeur est jaloux,
Ô douceur de Femme, te dire "je t'aime", encore.
José Delattre. 02/03/2017.
mardi 24 octobre 2017
Réalité onirique.
🌗Réalité onirique.🌓
Ô belle dame, je découvre enfin votre image !
Vous êtes le reflet de mes songes bonheurs,
Hantant mes nuits,faisant battre mon coeur,
Quant au creux de mes rêves, lascive sur le rivage
Vous m'apparaissez si songeuse et pensive...
La main aux lèvres quémandant un baiser ?
J'aimerais tant obéir mais j'ai peur de briser,
L'attitude sensuelle de votre pose naive.
Ô laissez-moi vous serrez dans mes bras,
Respirer la fragrance de votre odeur de femme,
Que j'imagine piquante sur votre peau diaphane,
Un mélange envoûtant sucre et sel à la fois.
Ainsi c'est vous, la beauté charnelle de mes rêves,
Celle qui me rejoint dans mon sommeil profond,
Vous existez vraiment ! Ah ! J'en perds la raison...
Permettez que je goûte la saveur de vos lèvres .
Ont-elles ce goût de miel de mes rêves étoilés ?
Laissez-moi me noyer au fond de vos mirettes,
Où le bleu de la mer qui m'emporte se reflète,
Ô tenez, j'en perds la tête, partons donc nous aimer !
José Delattre 22/08/2016.
Ô belle dame, je découvre enfin votre image !
Vous êtes le reflet de mes songes bonheurs,
Hantant mes nuits,faisant battre mon coeur,
Quant au creux de mes rêves, lascive sur le rivage
Vous m'apparaissez si songeuse et pensive...
La main aux lèvres quémandant un baiser ?
J'aimerais tant obéir mais j'ai peur de briser,
L'attitude sensuelle de votre pose naive.
Ô laissez-moi vous serrez dans mes bras,
Respirer la fragrance de votre odeur de femme,
Que j'imagine piquante sur votre peau diaphane,
Un mélange envoûtant sucre et sel à la fois.
Ainsi c'est vous, la beauté charnelle de mes rêves,
Celle qui me rejoint dans mon sommeil profond,
Vous existez vraiment ! Ah ! J'en perds la raison...
Permettez que je goûte la saveur de vos lèvres .
Ont-elles ce goût de miel de mes rêves étoilés ?
Laissez-moi me noyer au fond de vos mirettes,
Où le bleu de la mer qui m'emporte se reflète,
Ô tenez, j'en perds la tête, partons donc nous aimer !
José Delattre 22/08/2016.
lundi 23 octobre 2017
MARÉE HAUTE !
Soudainement parfois,
Un moment de notre vie
Peut être altéré !
MAREE HAUTE !
🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞🏞
J'irai parler à la lune...
Et même lui demander conseil...
Que ma Muse soit blonde ou brune !
Ou, qu'elle ait les yeux arc-en-ciel !
Pourquoi cette houle en moi ?
Qui, brusquement m'interpelle !
Pourquoi ce flux et ce reflux ?
Qui dans ma tête me harcèle...
Je te parle, ma lune !
Prêtes l'oreille à mes mots !
Je te fais part de mon infortune ,
De ce trouble que je perçois en écho !
De cette marée haute
Qui depuis quelques temps
Ne laisse aucun répit
Au sommeil de mes nuits !
Pourquoi mon âme de poète...
Quelquefois s'interdit ?
De penser...
De rêver...
Dis le moi, ma chère et ronde lune...
Quand cessera la marée haute ?
Et dis-moi, douce lune
Si tout cela est ma faute ?
Je t'en prie, fais-moi un signe
Que cette houle se retire !
De mon côté, je me résigne
Si tu consens à tout me dire.
Marée haute !
La mer s'en vient, la mer s'en va...
Roulis d'écumes, douce amertume
Au clair de lune, ma Muse revient,
La vie s'étire, le temps s'embrume,
Enfin le calme qui s'en vient.
Marée basse !...
José Delattre. Le 05/11/2015
samedi 21 octobre 2017
Temps suspendu .
🌅Temps suspendu🌅
Dans un temps suspendu, et dans un doux bien-être,
J'entends au ralenti, les battements d'un coeur,
Est-ce le tien, le mien, ou bien les deux peut-être,
Métaphore symphonique de nos désirs vainqueurs.
J'entends au ralenti, les battements d'un coeur,
Est-ce le tien, le mien, ou bien les deux peut-être,
Métaphore symphonique de nos désirs vainqueurs.
Il y a si longtemps que je parcoure les routes...
Constamment en recherche de ce bonheur perdu,
Si je trouve un chemin, alors revient le doute,
Brumes de souvenirs de mes fantômes revenus.
Constamment en recherche de ce bonheur perdu,
Si je trouve un chemin, alors revient le doute,
Brumes de souvenirs de mes fantômes revenus.
Je le cherche pourtant ce sentier qui s'élève,
Ce chemin sinueux taillé dans la falaise...
Là où naguère un soir sous la voûte étoilée,
Nous avions fait serment d'une même destinée.
Ce chemin sinueux taillé dans la falaise...
Là où naguère un soir sous la voûte étoilée,
Nous avions fait serment d'une même destinée.
Je le retrouverai ce sentier de montagne...
Ce sentier emprunté par les contrebandiers,
Alors nous rêverons de châteaux en Espagne,
En nos jeux éphémères pour rire et plaisanter.
Ce sentier emprunté par les contrebandiers,
Alors nous rêverons de châteaux en Espagne,
En nos jeux éphémères pour rire et plaisanter.
Sur ce tapis de mousse, là-haut dans la montagne,
L'empreinte de nos corps, amoureux, éperdus...
À imprégné d'odeurs notre mas de cocagne,
Se languissant de nous dans ce temps suspendu.
L'empreinte de nos corps, amoureux, éperdus...
À imprégné d'odeurs notre mas de cocagne,
Se languissant de nous dans ce temps suspendu.
José Delattre. 18/08/2016.
https://www.flickr.com/photos/frog974/9091346618
vendredi 20 octobre 2017
Femme ! Doux parfum !
💜FEMME, DOUX PARFUM💜
La femme, comme les fleurs,
Exhale mille parfums,
Qui enchante mon coeur
D'éternel Féminin
Le parfum entêtant,
Du Lys . Qui respiré...
Fait de chaque instant,
L'instant d'éternité.
Le parfum délicieux
De ce Muguet de mai...
Aux grelots merveilleux,
Qu'on aime respirer.
Le parfum qui enivre,
D'un bouquet de Lilas.
La fragrance qu'il délivre ,
Quand tu es dans mes bras.
Ce bouquet de violettes,
À l'odeur qui m'invite,
M'oblige à m'arrêter...
Pour te conter fleurette !
Ce parfum de Lavande,
Dont on extrait du miel...
Et dont le goût m'enchante,
Juste avant mon sommeil.
Et le parfum subtil,
De celui de la Rose...
Quand de tes mains agiles,
Sur moi enfin, déposes...
...Ton doux parfum de femme,
Faisant de chaque jour...
Une éternelle flamme,
Qu'on appelle, L'AMOUR
Je ferai de ton Être,
Un bouquet mille tons,
Pour exalter ta grâce...
De fleurs de la passion.
Je ferai de tes jours,
Toi, Femme que j'adore
Un éternel Amour,
Pour que tu m'aimes encore...
José Delattre. 11/04/2016.
La femme, comme les fleurs,
Exhale mille parfums,
Qui enchante mon coeur
D'éternel Féminin
Le parfum entêtant,
Du Lys . Qui respiré...
Fait de chaque instant,
L'instant d'éternité.
Le parfum délicieux
De ce Muguet de mai...
Aux grelots merveilleux,
Qu'on aime respirer.
Le parfum qui enivre,
D'un bouquet de Lilas.
La fragrance qu'il délivre ,
Quand tu es dans mes bras.
Ce bouquet de violettes,
À l'odeur qui m'invite,
M'oblige à m'arrêter...
Pour te conter fleurette !
Ce parfum de Lavande,
Dont on extrait du miel...
Et dont le goût m'enchante,
Juste avant mon sommeil.
Et le parfum subtil,
De celui de la Rose...
Quand de tes mains agiles,
Sur moi enfin, déposes...
...Ton doux parfum de femme,
Faisant de chaque jour...
Une éternelle flamme,
Qu'on appelle, L'AMOUR
Je ferai de ton Être,
Un bouquet mille tons,
Pour exalter ta grâce...
De fleurs de la passion.
Je ferai de tes jours,
Toi, Femme que j'adore
Un éternel Amour,
Pour que tu m'aimes encore...
José Delattre. 11/04/2016.
mardi 17 octobre 2017
Là où je t'emmenerai !
Univers féerique.
Je t'emmenerai là où naît le vent,
Le vent de l'amour et des rêves
Là où il n'y a plus de tourments
Là où jamais rien ne s'achève
C'est un endroit rempli de fleurs,
Plein de parfums et de couleurs,
Les loups sont doux comme des agneaux,
Et les poissons dansent dans l'eau
Une eau y coule verte et bleutée
Ou se reflète la voie lactée...
Sur mille petits lagons,
Avec des coraux dans le fond
Une forêt aux mille essences...
Où les arbres sont pleins de fleurs,
Il s'en exhale une telle fragrance
Que leurs parfums troublent le coeur
Il y a de beaux tapis de mousse
Qui rendent cette nature si douce...
Les abeilles butinent des pistils dorés,
Le miel est un nectar au goût raffiné,
Il y a tant d'espèces d'oiseaux...
Des papillons plein de couleurs
Tant de mammifères si beaux...
On y entend mille clameurs !
C'est le voyage de l'histoire sans fin
Les fées, les elfes et les petits lutins
Dansent une sarabande folle !
C'est le pays du roi Eole.
Il y a tant de nectar à boire...
Tant de baies à déguster
Que mille an, nous pouvons rester
Car là, le temps est illusoire !
Là où je t'emmenerai...
Nous partirons pour y rester,
Eole sera toujours avec nous...
Il nous portera jusqu'au bout....
Là, où je t'emmenerai...
Il n'y aura ni peurs, ni doutes,
Le monde est toujours en été...
Et il n'existe qu'une route,
Là, où je t'emmenerai !
José Delattre. 16/05/2016.
Rêve d'Eden
Et qui emportent l'âme aux limites du frisson...
Paysage ocre d'or sur une mer infinie,
Où le silence règne, emportant la raison.
Ce paradis sur terre, où l'ocre de la montagne,
Vous plonge dans le rêve, quand tombe le disque d'or,
Et votre esprit qui rêve de châteaux en Espagne,
Dans cette nature sublime, y voit tous les trésors.
Nous pourrions y forger nos âmes de poètes...
Dans le silence prégnant de ces lieux de retraite,
Car dans la joie profonde de cet Éden rêvé ,
Nos âmes s'élèveraient pour qu'enfin notre terre...
Ravagée aujourd'hui, par autant de misères,
Soulagent par les mots, les maux de l'humanité.
JD, 28/03/2016.
dimanche 15 octobre 2017
Sur sa plage déserte
Rêverie avec ma muse poète ***
Debout, face à la mer,
Elle se laisse emporter...
Par le vent qui la berce,
Aujourd'hui comme hier
C'est là, son port d'attache,
Son refuge insouciant.
C'est là, qu'elle se relâche,
Dans la plainte du vent.
Elle expose son visage,
Au fouet des embruns.
Et la lune en partage,
L'accompagne en chemin.
Alors son coeur se calme,
Quand la marée descend.
Confiant alors ses drames,
Et ses ressentiments.
Elle confie à sa plage,
Ses ennuis, ses tourments.
Et chaque grain de sable,
Devient son confident.
Elle y passera la nuit,
Cherchant le réconfort.
Quand la douleur s'enfuit,
Parfois même, elle s'endort.
Mais lorsque vient l'aurore,
Et qu'elle reprend la route.
Sa plage sait déjà...
Qu'elle y viendra encore,
Pour lui confier ses doutes...
Sur sa plage déserte,
Si un jour vous y êtes...
Dans un halo de lune,
Le sable vous contera,
Ses secrets, ses tourments,
Dans le murmure du vent...
JD, 19/01/2016.
Image : Blog d'électric Girl
vendredi 13 octobre 2017
L'amour c'est ça (romance)
L'amour c'est ça !
L'amour c'est toi, c'est moi, c'est nous
C'est ta main dans la mienne !
L'amour, c'est grand, c'est beau, c'est doux
On s'aime et c'est comme ça !
L'amour c'est prendre un seul chemin
Boire à l'eau des fontaines !
Et puis s'aimer encore demain
S'aimer, c'est ça, c'est ça !
Tel un ruisseau près de sa source, c'est un murmure !
C'est une brise marine face à l'océan
C'est l'oiseau qui chante le soir dans la ramure
C'est un frisson léger que procure le vent
Dans la douceur d'un soir d'été, quand la nature !
S'endort peu à peu dans le soleil couchant
Quand Phébus dans un dernier rayon nous rassure
Et nous invite à fêter la nuit des amants !
L'amour c'est ton coeur et mon coeur
Qui partent à l'aventure !
L'amour c'est ta bouche sur la mienne
Qui murmure tout bas !
L'amour c'est nos doigts emmêlés
Pris dans ta chevelure !
C'est nos deux corps enchevêtrés
L'amour, c'est ça, c'est ça !
Quant à l'aurore ton corps allongé sur ma couche
Telle une sirène ta voix a ce ton charmant
C'est le bonjour aussi que scelle nos deux bouches
C'est l'envie que tu me procures en te levant !
C'est le bonheur que je reçois quand tu me touches
Et le plaisir de me retrouver dans tes bras
Et quand d'un ton moqueur tu redeviens farouche
Que tu me cries je t'aime, ô oui, alors j'aime ça !
L'amour c'est nos baisers mouillés
Nos lèvres qui se touchent !
L'amour c'est nos corps allongés
Et nos envies d'faire ça !
L'amour c'est toi, c'est moi, c'est nous
C'est nos mains qui se touchent !
L'amour c'est t'aimer plus que tout
L'amour c'est ça, c'est ça !
L'amour c'est doux comme un refrain
Qui vous prend, vous entraine !
L'amour comme une eau de satin
Vous donne envie d'faire ça !
L'amour c'est se prendre la main
Boire à l'eau des fontaines !
L'amour c'est toi et moi demain
L'amour c'est ça, c'est ça !
José Delattre. 21/09/2017.
jeudi 12 octobre 2017
Ô femme (romance)
Ô femme !
Je m'ennivre chaque jour de vous voir plus belle,
Chaque jour plus désirable, dès que l'aube paraît
Votre intime parfum met mes sens aux aguets,
Et vous m'apparaissait comme un présent du ciel
De vos grands yeux grisants vous savez l'importance
Et de vos nombreux charmes, vous connaissez l'attrait,
Et j'ai le coeur qui tremble devant tant de beauté
Vous ma flamme, mon élixir, ma corne d'abondance.
Ô femme, que ne ferais-je pour votre bonheur ?
Entretenir un feu plus ardent et plus doux,
Qui réjouit vos sens et fait battre le coeur.
Je vous cultiverai un jardin des délices
Au mille parfums de roses où je serai complice,
Du pouvoir de ces fleurs posées à vos genoux.
José Delattre. 23/08/2017.
mercredi 11 octobre 2017
Échappée Belle
Mes pensées vagabondent et sur ta peau nue,
J'imagine un voyage en terre inconnue
Et me viennent des mots comme perles de pluie,
Des rimes où l'étoile blonde du Berger scintille.
Connais-tu, la Vénus, dans le ciel, sereine,
Si belle et si brillante dessous la voie lactée,
Qui par temps de nuit claire fait chanter les sirènes,
Egarant les marins de leurs voix enchantées.
J'égarerai ton coeur et tel un Cupidon,
Sous mes tendres baisers, ton âme à l'abandon,
Et mes mains sur tes joues, au creux de ton oreille,
Je te dirai des mots d'amour au goût de miel
Des frissons de ta peau s'éxaltent tes soupirs,
Cette grande évasion sur la route des plaisirs...
Par la voie des sentiers serpentants des Monts d'Or,
Débouche sur la vallée du merveilleux trésor.
Là, se cache le graal qui danse et qui stridule,
Tel le chant des cigales assourdissant la plaine
Nos sens au paroxysme de ces sons qui ondulent,
Goûteront au nectar de la divine fontaine.
JD, 30/08/2016.
Image Irène Beck
Mon plus beau souvenir (amour)
Mon plus beau souvenir.
Ô charmante silhouette de mes crépuscules,
Douceur, amour, beauté, ivresse de mes nuits !
Ô merveilleuse femme au nectar d'ambroisie
Nudité éclatante de mes yeux majuscules
Ô amour, le ciel vous a ravi de notre nid si doux
Et mon coeur esseulé est en manque de vous
Dans le silence profond de mon havre, solitaire,
Résonne encore l'écho de votre voix si claire,
Et tout mon être en tremble de joie contenue
Vous rêvant de me dire me voilà revenue !
Et tout en moi s'exalte, et mon âme et mon coeur,
Et je vous imagine au détour d'un couloir ! Ô bonheur !
De refaire toutes ces choses qui nous ressemblent
Et goûter à nouveau au plaisir d'être si bien ensemble,
Vous fûtes ma nuit d'été, toute ma vie entière
Compagne de mes amours, divine cavalière !
Dans les chaudes étreintes de nos corps enflammés !
Quand à bouche que veux-tu, de nos lèvres en feux
Nous ne parvenions plus à arrêter les jeux
De nos amours, charmés !
Je repense et souris à toutes ces choses vécues !
Vous qui veniez vers moi de vos deux mains tendues
Votre image dans son cadre qui m'est si souriante
Renforce votre absence dans ce si grand silence !
Mais il est des silences bien plus fort que les mots
Entre le coeur et l'âme existe un espace clos
Une cour réservée aux sentiments précieux !
C'est ma cache secrète, et c'est là que vous êtes
Et j'en suis si heureux !
Votre coeur vit en mon coeur,
À l'ombre de mes désirs !
Vous êtes ma plus belle fleur
Mon plus beau souvenir
José Delattre. 07/09/2017.
lundi 9 octobre 2017
Sous la caresse du vent !
Tableau : Annie Glaunes.
C'est sous le doux zéphir qui leur caresse la peau !
Dans cette clairière perdue, que se cache leur amour,
Sur ce tapis de mousse où ils donnent libre cours
À leurs envies profondes ; que nus, sans oripeaux !
Ils viennent pour s'aimer !
Le vent dans la clairière caresse les fougères
Faisant bruisser les feuilles des arbres séculaires
Et leurs peaux frissonnantes sous la brise légère
Tressaillent de bonheur dans ce paradis vert
De soleil éclairé !
Dans les ramures hautes, seul le chant des oiseaux !
Trouble le silence prégnant de la plaine circulaire
Et sur la mousse douce, leurs êtres nus et beaux
Se lovent l'un à l'autre comme pour mieux se plaire
Les yeux illuminés !
Alors comme habités par la grandeur des lieux,
Dans le chant des oiseaux monte leur chant d'amour
Et dans le bouche à bouche qu'ils se livrent tour à tour
Leurs corps se pressent plus pour se connaître mieux
Enivrés, assoiffés !
Leurs mains se cherchent, se trouvent, explorent
Impatients de trouver ce qu'ils viennent chercher
Et quand leurs corps s'imbriquent de toute l'envie d'aimer
Leurs mains caressent, pincent, leurs bouches se dévorent !
Comme pour mieux y goûter !
Et leur amour avide, goûtera jusqu'à la lie
Aux spasmes violents de leurs deux corps celés !
Et même s'ils se relèvent, c'est pour mieux se presser
Corps à corps suspendus de tendresse infinie
Sous la caresse du vent !...
Les oiseaux se sont tus !...
C'est sous le doux zéphir qui leur caresse la peau !
Dans cette clairière perdue, que se cache leur amour,
Sur ce tapis de mousse où ils donnent libre cours
À leurs envies profondes ; que nus, sans oripeaux !
Ils viennent pour s'aimer !
Le vent dans la clairière caresse les fougères
Faisant bruisser les feuilles des arbres séculaires
Et leurs peaux frissonnantes sous la brise légère
Tressaillent de bonheur dans ce paradis vert
De soleil éclairé !
Dans les ramures hautes, seul le chant des oiseaux !
Trouble le silence prégnant de la plaine circulaire
Et sur la mousse douce, leurs êtres nus et beaux
Se lovent l'un à l'autre comme pour mieux se plaire
Les yeux illuminés !
Alors comme habités par la grandeur des lieux,
Dans le chant des oiseaux monte leur chant d'amour
Et dans le bouche à bouche qu'ils se livrent tour à tour
Leurs corps se pressent plus pour se connaître mieux
Enivrés, assoiffés !
Leurs mains se cherchent, se trouvent, explorent
Impatients de trouver ce qu'ils viennent chercher
Et quand leurs corps s'imbriquent de toute l'envie d'aimer
Leurs mains caressent, pincent, leurs bouches se dévorent !
Comme pour mieux y goûter !
Et leur amour avide, goûtera jusqu'à la lie
Aux spasmes violents de leurs deux corps celés !
Et même s'ils se relèvent, c'est pour mieux se presser
Corps à corps suspendus de tendresse infinie
Sous la caresse du vent !...
Les oiseaux se sont tus !...
José Delattre. 25/09/2017.
dimanche 8 octobre 2017
La Source des Mots
Citation ; Quand la haine l'emporte sur l'amour,
Tout n'est que ruine et désespoir !
J. Delattre, 16/11/2015
Cette poésie a été écrite quelques jours après les attentats de nov.2015 à Paris...
______________________________
Des vies fauchées un soir de fête !
Fous sanguinaires, déboussolés
Sous des rafales de mitraillettes
Combien d'innocents ont payés
Qui sont ces monstres endoctrinés
Et qui leur a donné le droit
Que tous ces gens assassinés
Soient abattus de sang-froid.
Sont-ils encore humains ?
Où, dans leur folie sanguinaire
Ne croient-ils plus en demain
Pour faire de cette journée, leur dernière !
À toutes ces familles meurtries,
Auxquelles, je pense chaque jour.
À ceux qui luttent pour leur vie
Je souhaite courage, force et amour.
Mais il faut relever la tête
Et l'espoir ne jamais perdre.
Ils reviendront, les soirs de fête
Et forts, et droits, nous devons être.
Nous devons reprendre la route,
Et rester dignes, et rester fiers.
Et nous devons rêver, sans doute,
D'un avenir où tout s'éclaire...
Je connais un endroit,
Ou coule une eau limpide.
Qui atténue, souffrances,
Peines et effrois
Elle coule en abondance,
Et son torrent rapide
Est la source des Mots
Où le poète est roi
Elle recèle en son sein,
Toutes les âmes de poètes
Et quand on s'en approche,
On entend que des mots
Qui s'assemblent, se construisent,
Et qui s'interpénètrent
Éternelle poésie
Où ne reste du monde
Que ce qui en est beau !
UNE LÉGENDE DIT...
Quand arrive novembre
Et que les feuilles tombent.
Les poètes qu'ils sont,
Vivent en rimes et chansons.
Chaque année, ils s'agitent,
Et dans les jours qui suivent
Le vent emporte alors
L'écho de leur trésor
Et les jours de grand froid,
Lorsque le temps est calme
Les pierres et murailles
Résonnent de leurs voix
On dit même quelquefois,
Que certains soirs d'hiver
Le murmure de leurs voix,
Arrive dans les chaumières
Et que, certaines années,
Quand tous sont réunis
Au-dessus de la source
Un amas d'étoiles forme
Comme une poésie
Monte alors dans l'air pur
Des rimes en sons fugaces
Qui deviennent murmure
Se perdant dans l'espace..
Il faut s'en souvenir !
Écrire tout cela
Et rendre compte parfois,
Afin qu'on n'oublie pas !
Et l'âme des Poètes
Et la source des Mots !
Longtemps, longtemps, longtemps,
Après que les poètes aient disparus,
Leurs poèmes, leurs chansons,
Courent encore...dans les rues...
💜🌹💜🌹💜🌹💜🌹💜🌹💜🌹💜🌹💜🌹💜🌹💜🌹💜
Épilogue.
Je rêvais d'un autre monde
Où la terre serait ronde
Où la Lune serait blonde,
Et la vie serait féconde... J.L. AUBERT
JD,16/11/2015
Épilogue.
Je rêvais d'un autre monde
Où la terre serait ronde
Où la Lune serait blonde,
Et la vie serait féconde... J.L. AUBERT
JD,16/11/2015
Image du Net signée
Elle est libre ma muse
Elle est libre ma muse
__________________________
Elle est libre comme l'air,
Tout compte fait, elle me ressemble.
Rude ou parfois insouciante,
Traversant l'espace d'un éclair.
À son passage, bouffée d'air frais
Mais, si vous pensez la saisir,
Elle échappe à vos désirs.
Évanescente, elle disparaît.
Vous parlant parfois de tout,
De ses angoisses, de ses envies,
De ses rêves, de ses folies.
Elle essaie de vous séduire, surtout
Mais quand elle se réfugie...
Alors elle s'éloigne, elle s'enferme,
Elle doute, perd confiance et rumine.
Puis tout à coup, elle revient et accepte.
Mais ces fugaces instants,
Parfois insaisissables.
Sont autant de printemps...
Peut-être impérissables.
C'est déjà une vieille amie,
Et quand ma muse se régénère
Elle s'échappe, libre comme l'air
Pour aller vous conter, ma poésie
C'est un peu de moi qui s'en va
Parler à vos cœurs poétiques
De rêveries mélancoliques
Où chacun de vous s'évadera
JD, 03 nov. 2015
Image du Net
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Elle est libre comme l'air,
Tout compte fait, elle me ressemble.
Rude ou parfois insouciante,
Traversant l'espace d'un éclair.
À son passage, bouffée d'air frais
Mais, si vous pensez la saisir,
Elle échappe à vos désirs.
Évanescente, elle disparaît.
Vous parlant parfois de tout,
De ses angoisses, de ses envies,
De ses rêves, de ses folies.
Elle essaie de vous séduire, surtout
Mais quand elle se réfugie...
Alors elle s'éloigne, elle s'enferme,
Elle doute, perd confiance et rumine.
Puis tout à coup, elle revient et accepte.
Mais ces fugaces instants,
Parfois insaisissables.
Sont autant de printemps...
Peut-être impérissables.
C'est déjà une vieille amie,
Et quand ma muse se régénère
Elle s'échappe, libre comme l'air
Pour aller vous conter, ma poésie
C'est un peu de moi qui s'en va
Parler à vos cœurs poétiques
De rêveries mélancoliques
Où chacun de vous s'évadera
JD, 03 nov. 2015
Image du Net
samedi 7 octobre 2017
Dans l'éclat de vos yeux !
Dans l'éclat de vos yeux.
Dans l'éclat de vos yeux, mon coeur à vascillé
Une lueur singulière comme un je ne sais quoi
Semblable au clair de lune éclairant cet endroit
Où je vous rencontrais, un soir d'été dernier.
J'en fus tellement ému, que je ne puis vous dire
Quel jour cela était, mais en soi, quelle importance !
Vous étiez là Madame, et pour moi, quelle chance
De vous voir de si près et de vous découvrir.
Dans ce verger fleuri, près de cet arbre en fleurs
Votre silhouette exquise hypnotisa ma vue
Car votre robe elle-même vous mettait en valeur.
Dans ce verger fleuri, près de cet arbre en fleurs.
Je n'avais qu'une hâte, celle de vous l'enlever
Pouvoir vous contempler dans votre beauté nue
Sous la lune complice de sa blanche clarté
Dans l'éclat de vos yeux, je n'ai pu résister.
José Delattre. 30/07/2017.
Des étoiles plein les yeux
Ô splendeurs du Centaure
Alpha et Oméga du ciel austral
Quand l'astre solaire s'endort
Ta nuit noire se pare d'étoiles.
Essaim d'abeilles phosphorescent
Tout est plus lumineux, plus puissant
Dès la clarté du jour balayée
La voûte céleste est striée.
Hémisphère Sud, galets d'argent
Richesse des nuages de Magellan
Amas du Centaure et du Toucan
Intensité, puissance diamant.
Ô voie lactée, quelle émotion
Quand du centre galactique
Sagittaire et Scorpion
S'amusent à tutoyer le zénith
Une crémeuse coulée céleste
S'étale voluptueusement
Autour de ces deux amants
C'est géant, c'est dantesque.
C'est comme un voile de la mariée
Métamorphose d'une traîne lactée
Tapisserie cosmique étincelante
De milliers d'étoiles brillantes
Mais la nuit n'est pas terminée
Toujours en allant plus au sud
Du Centaure à la Croix du Sud
La beauté infinie de la Voie lactée
Infinitude des Nuages de Magellan
Piqués d'amas et de nébuleuses
Comme des atolls apparaissant
Dans un ciel noir, coulées laiteuses.
Et dans l'attente, face au Levant
Dès les premières lueurs de l'aube
Domine Vénus, reine sur son trône
Quant apparaît la Lune timidement.
Elle se lève juste avant le Soleil
Mais dans le bleu lagon du ciel
Invisible de son amant, dame la Lune
Du soleil qui l'éblouit, pleure son infortune.
Blanc du ciel clair ou bien nuit noire
Émotions d'un univers fabuleux
Imprégnions-nous d'une belle histoire
Avec des Étoiles plein les yeux
JD 02/08/2017.
Cette poésie est inspirée d'un texte de Guillaume Cannat daté du 09 juillet 2017
http://autourduciel.blog.lemonde.fr/2017/07/09/le-centaure-la-croix-du-sud-et-les-merveilles-de-la-voie-lactee-australe/
Alpha et Oméga du ciel austral
Quand l'astre solaire s'endort
Ta nuit noire se pare d'étoiles.
Essaim d'abeilles phosphorescent
Tout est plus lumineux, plus puissant
Dès la clarté du jour balayée
La voûte céleste est striée.
Hémisphère Sud, galets d'argent
Richesse des nuages de Magellan
Amas du Centaure et du Toucan
Intensité, puissance diamant.
Ô voie lactée, quelle émotion
Quand du centre galactique
Sagittaire et Scorpion
S'amusent à tutoyer le zénith
Une crémeuse coulée céleste
S'étale voluptueusement
Autour de ces deux amants
C'est géant, c'est dantesque.
C'est comme un voile de la mariée
Métamorphose d'une traîne lactée
Tapisserie cosmique étincelante
De milliers d'étoiles brillantes
Mais la nuit n'est pas terminée
Toujours en allant plus au sud
Du Centaure à la Croix du Sud
La beauté infinie de la Voie lactée
Infinitude des Nuages de Magellan
Piqués d'amas et de nébuleuses
Comme des atolls apparaissant
Dans un ciel noir, coulées laiteuses.
Et dans l'attente, face au Levant
Dès les premières lueurs de l'aube
Domine Vénus, reine sur son trône
Quant apparaît la Lune timidement.
Elle se lève juste avant le Soleil
Mais dans le bleu lagon du ciel
Invisible de son amant, dame la Lune
Du soleil qui l'éblouit, pleure son infortune.
Blanc du ciel clair ou bien nuit noire
Émotions d'un univers fabuleux
Imprégnions-nous d'une belle histoire
Avec des Étoiles plein les yeux
JD 02/08/2017.
Cette poésie est inspirée d'un texte de Guillaume Cannat daté du 09 juillet 2017
http://autourduciel.blog.lemonde.fr/2017/07/09/le-centaure-la-croix-du-sud-et-les-merveilles-de-la-voie-lactee-australe/
Viens, je t'emmène
Viens, je t'emmène,
Nous partons loin d'ici
Vers un autre domaine,
Vers d'autres infinis
Partons en des contrées
Où il fait bon s'aimer,
Partons en ces vallées
Allons nous ressourcer.
Allons chercher le Graal
Cette énergie vitale,
Qui fait que nos deux coeurs
S'aiment d'une telle ardeur
L'amour qui nous dévore
A grand besoin d'espaces,
De lieux déserts et vastes
Pour nous aimer encore.
Je sais des lieux rêvés
Où de nos caresses douces,
Sur des tapis de mousse
Nos corps seront comblés.
Il est des coins de fleurs
Où nus, nos corps allongés,
Pourront se parfumer
De toutes les odeurs.
Viens, je connais ce lieu
Y coule une source vive,
Une eau claire et limpide
Où se reflète les cieux.
C'est une eau de jouvence
Qui conserve la richesse,
D'une éternelle jeunesse
Pour nos coeurs en partance.
Il y a aussi la mer...
Bleue et golfes clairs,
Une plage de sable blanc
Ou nous serons amants.
Et un petit voilier...
Où nous pourrons rêver,
Nous laissant dériver
Sous le ciel étoilé.
Viens, ne te fais pas prier
Notre amour est si grand,
Que même l'océan
Ne pourrait le combler.
Viens, je t'emmène au soleil,
Là où le paradis...
Est d'un bleu infini,
D'un amour éternel.
JD 29/11/2016.
dimanche 1 octobre 2017
Destinée
"J'existe en tout ce qui m'entoure et me pénètre
Gazons épais, sentiers perdus, massifs de hêtres
Eau lucide que nul ombre ne vient ternir.
Vous devenez moi-même étant mon souvenir...
- Émile Verhaeren -
Rêve, mon ami, rêve
Rêve de grands espaces
Et d'horizons lointains
Que jamais ne trépasse
Ce sourire du destin
Qui un jour t'a vu naître
Une étoile m'a dit
Rêve, mon ami, rêve
Car les heures du temps
Se vivent intensément
Avec force et courage
Avec hargne, avec rage
Et chaque jour, sans trêve
Une étoile m'a dit
Rêve, mon ami, rêve
Car la vie est Amours
Car la vie est Passions
Et qu'il faut chaque jour
Que naisse une raison
D'entretenir la braise
Une étoile m'a dit
Rêve, mon ami, rêve
Relève avec défit
Relève avec courage
Chaque instant de ta vie
Afin que tu partages,
Cette étape si brève
Une étoile m'a dit
Rêve, mon ami, rêve
Et emprunte ta route
Et si à mi chemin
Tu peux avoir un doute
Pense déjà à demain
Car les heures sont brèves
Une étoile m'a dit
Rêve, mon ami, rêve
Vite arrive l'automne
Il te faut regarder
Si ta récolte est bonne
Si de roses perlées,
Ta route est parsemée
Tu prendras une trêve
Une étoile m'a dit
Rêve, mon ami, rêve
Et goûte avec ivresse
Chaque moment présent
Il n'est point de sagesse
Sans long cheminement
Pour que vienne la relève
Une étoile m'a dit
Rêve, mon ami, rêve
Car tu es arrivé
À la bonne adresse
Que puisse ton panier
Révélé ta sagesse
Qu'un nouveau blé se lève
Car la lune, l'autre soir
M'avait dit en passant
Que dans cet univers
En éternel mouvement
Il y a quelque part
Une étoile qui m'attend
Elle est devenue l'étoile
Et elle brille de mille feux
C'est l'étoile qui m'a dit
De suivre mon destin
Ma quête, mon chemin
A cela je veux croire !
Je vous partage mes rêves
Je vous partage mes joies
Je conserve mes peines
Ces peines qui sont miennes
Ne se partagent pas...
Elles restent dans ma tête.
Elles sont, mon aiguillon
Ma force et mon courage
Elles me poussent à franchir
Ces vastes horizons
Qui m'ont été promis
Elles sont toute ma vie.
Mon étoile s'est tue
Et je rêve sans Elle
Elle brille au firmament
Dans une voie si belle
Qu'on l'appelle, lactée
Les jours de nouvelle lune
Elle apparaît fièrement
Dans le soleil couchant
Et vous ne verrait qu'elle
Car longue est la trainée
Sa poussière argentée...
Chaque fois qu'elle apparaît
Je vais la regarder
Car ma marche fut longue
Et long fut le chemin
Mais si en cours de route
J'ai pu vous rêver...
Je me sentirai bien.
Croyez en votre étoile,
En votre destinée
Qu'elle vous donne l'envie
De connaître demain...
Et vous serez heureux
Et vous serez contents
Et quand vous conterez
Plus tard à la veillée
À vos petits enfants
Tous vos rêves accomplis
Par vos routes empruntées !
Dieu m'est témoin qu'alors
Vous écoutant bouche bée
S'ouvrira devant eux
Le moyen d'accomplir
Leur propre destinée...
José Delattre, 07/11/2015
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